Desradars vont être installés de part et d'autre du pont de Cheviré, au sud et au nord de Nantes. Le projet de radar-tronçon a été abandonné "pour des raisons techniques". Jesuis le veilleur du Pont-au-Change. Ne veillant pas seulement cette nuit sur Paris, Cette nuit de tempête sur Paris seulement dans sa fièvre et sa fatigue, Mais sur le monde entier qui nous environne et nous presse. Dans l’air froid tous les fracas de la guerre. Cheminent jusqu’à ce lieu où, depuis si longtemps, vivent les hommes. Spectaculaireaccident lundi 29 octobre, à Rouen, sur le pont Mathilde. Un camion-citerne chargé d'hydrocarbures s'est renversé et a pris feu. L'édifice est fermé à la circulation. cash. Publié le dim, 06/03/2022 - 0703 Modifié le dim, 06/03/2022 - 0703 Le trafic sur le pont Mabenga, situé sur le tronçon Kiwanja-Kanyabayonga, en territoire de Rutshuru Nord-Kivu a repris vendredi 4 mars. L’annonce a été faite par le porte-parole du Gouverneur militaire de province, le général Sylvain Ekenge, dans un communiqué de presse. Les usagers ainsi que les propriétaires des véhicules, a-t-il indiqué, sont appelés au respect strict du tonnage maximal exigé pour la traversée de ce pont d’une importance capitale sur la route nationale n° 2 reliant la ville de Goma à la partie Nord de la province. Selon le porte-parole du Gouverneur, la réhabilitation des deux bandes de roulement et de la rampe d’axe sur le pont Mabenga exige pour l’instant que seuls les véhicules légers de type mini-bus et voiture soient autorisés à traverser sur ce pont. C’est une mesure de prévention contre des dangers qui peuvent surgir. Le passage des gros véhicules interviendra en début de la semaine prochaine, a-t-il précisé. En conséquence, les usagers et propriétaires des véhicules sont appelés au respect strict du tonnage maximal exigé pour la traversée du pont. Ce pont Mabenga, jeté sur la rivière Rutshuru, reliant la jonction entre Goma et la partie-Nord de la province du Nord-Kivu, était en état de délabrement très avancé. Les travaux de réhabilitation dont le coût n’est pas été révélé, ont été effectués par l’Office des routes. Lire aussi sur Recevez Radio Okapi par email Donnez votre adresse email dans ce formulaire afin de recevoir tous nos articles dans votre boîte email. Vous recevrez un message de confirmation avec un lien sur lequel il vous faudra cliquer afin que l'envoi d'emails devienne vous ne voyez pas l'email de confirmation dans votre boîte de réception, allez chercher dans vos spams et marquez le message comme "non spam". Dans la même catégorie Ecouter sur DEEZER Interprété par Francesca Solleville Musique de Philippe-Gerard Ecouter sur DEEZER Interprété par Monique Morelli Musique de Philippe-Gerard Pierre Mac Orlan 1882-1970 Je n'ai pas pu payer ma tôle Je dois deux semaines et ma clef N'ouvrira plus la rue des Saules Ainsi l'a voulu le tôlier La neige tombe ses grandes bâcheries Dans l' ciel, sur la terre et sur moi Le froid mord dans mes joues maigries Et me ronge le bout des doigts Ma mère m'a dit il y a longtemps "C'est sur le pont du nord qu'Adèle Ta sœur aînée a foutu l' camp Pour danser la java rebelle Loin des conseils de ses parents C'est là qu'elle perdit sa ceinture L'habit et l'air de la chanson Les rabouines, la bonne aventure Tout ça, c'est de l'accordéon !" Quand ma mère eut fermé la bouche Mon premier soin, rue Durantin Fut d'aborder une manouche On peut dire qu'elle tombait bien ! Sa jupe à volants était mûre Elle a regardé dans ma main Et m'a dit la bonne aventure Devant la porte d'un marchand d'vin Tu seras mariée pour toujours Avant que la Lune se couche Dans la lumière du petit jour Tout d' suite après ta première touche Car c'est ainsi que naît l'amour Tu me paieras à la prochaine Es-tu rassurée sur ton sort ? Il est au bout du pont des peines Autrement dit le pont du nord "Monsieur, demandais-je à tout l'monde Où se trouve le pont du nord ?" Les uns disaient "Au bout du monde" Et d'autres "Au bout du corridor" Dans les neiges indifférentes J'ai aperçu le pont brumeux Il n'avait pas de main-courante Et frôlait le fleuve et les cieux Le vent, tel un homme en folie Bouscula les points cardinaux Et la neige fondit en pluie Pour mieux nous refroidir les os Et la chair promise au tombeau La fille aperçut-elle un signe Qui lui fit entrevoir les corps Des mal-mariés à la dérive ? Ce n'est plus de notre ressort Ecouter sur DEEZER Interprété par Germaine Montero Musique de Philippe-Gerard Du même auteur La pandémie actuelle a mis encore davantage en lumière la capacité d'interface terre-mer et inter-administrations de la GMAR, tant en métropole qu'en outre-mer, estime le général Guillaume Grimaux, commandant de la gendarmerie système de bordées, accompagné parfois d'autorisations d'emploi dans un cadre dérogatoire, a permis aux 30 unités navigantes de rester opérationnelles en permanence et aux autres de mener de multiples missions de secours, de conseils, d'explication des mesures d'interdiction, voire de coercition le cas quotidienne contre la cybercriminalitéOutre cette action de terrain au service de la population, deux entités spécifiques œuvrent dans l'ombre Tout d'abord, le CNIGM qui, ayant fermé ses portes aux stagiaires, élabore des programmes d'enseignement à distance permettant de poursuivre l'acquisition des connaissances, donc de gagner des semaines d'instruction lorsque la crise sera la section de recherche de la GMAR, spécialement sa cellule CyberGendMar composée de spécialistes en nouvelles technologies Ntech qui anime également un réseau de correspondants Cntech affectés dans les groupements de gendarmerie maritime des trois façades. Sa mission principale est de détecter les activités criminelles en lien avec le Covid-19 mise en ligne sur des sites médicaux de produits interdits à la vente libre, mise sur le marché de masques périmés, escroqueries aux remèdes miracles »... Quatre signalements de sites de revente de chloroquine et de produits illicites ont ainsi été dévoilés par la cellule en l'espace de quelques seconde mission consiste à intervenir lorsqu’une entreprise, une collectivité, ou tout autre acteur économique, subit une attaque informatique ou une escroquerie. La cellule CyberGendMar est notamment intervenue le mois dernier au profit d’une entreprise de gestion de fret maritime d’un grand port de la Méditerranée qui venait de subir une attaque par rançongiciel. Il s'agissait là aussi d'un virus mais le support infecté n'était heureusement qu'un simple disque dur. »GMAR Méditerranée un confinement bien respecté En Méditerranée, nous avons été concernés très tôt par la problématique du COVID-19, note le colonel Jean-Guillaume Remy, commandant le groupement de la gendarmerie maritime Méditerranée. Dès la fin janvier, nous avons dû gérer la mise en quarantaine, à Carry-le-Rouet, de ressortissants français rapatriés de Chine. En février, nous étions donc déjà très préoccupés, avec une vigilance particulière sur les déclarations maritimes de santé, que doivent remplir les capitaines des navires en provenance de ports le vendredi qui a précédé le début du confinement, nous avons arrêté la navigation des vedettes et des patrouilleurs, pour éviter la promiscuité à bord. Seuls sortaient les semi-rigides. Nous avons aussi mis en place des patrouilles terrestres. L’objectif étant de continuer à contrôler notre écosystème, en limitant au maximum les risques de contagion au sein de nos Méditerranée et en Corse, nous avons procédé à environ 3 000 contrôles liés au respect des règles de confinement, avec un taux de verbalisation de l’ordre de 10 %. Au début, nous avons privilégié la pédagogie puis, progressivement, nous avons fait de plus en plus de répression. Depuis une dizaine de jours, nous n’avons quasiment plus d’activités illicites en mer. Le confinement est globalement bien surveillons particulièrement les chantiers navals, les ports secondaires et les aires marines protégées, comme Port-Cros et les Calanques. Dans ces zones, les risques de délinquance d’opportunité sont importants, qu’il s’agisse de braconnage, de pêche illégale ou de le cadre de nos missions, nous devons aussi contrôler quotidiennement les navires transportant des passagers entre le continent et la Corse au départ de Toulon, toutes les autres liaisons étant suspendues. Nous vérifions les attestations, sachant que seuls sont admis les déplacements pour raisons professionnelles ou pour des questions de santé très contrôlons également les navires de croisière autorisés par dérogation à accoster dans les ports de Méditerranée, notamment à Marseille, à bord desquels se trouvent des personnes contaminées par le COVID. Ce sont des manœuvres complexes, en lien avec la préfecture maritime, la préfecture des Bouches-du-Rhône, les autorités portuaires et l’armateur. En principe, un bateau étranger ne peut plus accoster dans un port français, mais subsistent des exceptions, au cas par cas, pour débarquer des ressortissants français nos missions de sécurité protection pour la Marine nationale sont bien entendu maintenues, comme l’escorte du PHA Dixmude le 3 avril dernier à bord duquel a embarqué un détachement des FAG. Nous sécurisons également des convois sensibles en mer comme nous l’avons fait récemment pour un transport important de masques médicaux vers la Corse. » GMAR Atlantique les bases militaires sous haute surveillance En Atlantique, notre mission prioritaire reste le maintien de la capacité de dissuasion nucléaire et donc la sécurisation de la base des Sous-marins nucléaires lanceurs d'engins SNLE de la Marine nationale, à L’île Longue, et de l'ensemble des moyens et infrastructures qui y sont liés, explique le colonel Ghislain de Cacqueray-Valménier, commandant le groupement de la gendarmerie maritime l’année, nous avons pour mission de protéger cette base vis-à-vis des menaces extérieures. Aujourd’hui, nous avons un ennemi nouveau, qui peut agir à l’intérieur même de la base. La pression est énorme, car il faut bien comprendre que si un marin, un scientifique ou un technicien disposant d’une forte expertise est infecté, cela peut gripper toute la machine. Pour les préserver, nous devons d’abord nous préserver nous-mêmes. Nous nous organisons pour cela par bordée de 15 jours 15 jours de mission d’affilée, puis 15 jours de confinement deuxième priorité est de faire respecter les décrets liés au confinement et les arrêtés préfectoraux interdisant la fréquentation du littoral et toutes mises à l’eau de bateaux de loisirs. Nous effectuons des contrôles en mer, mais aussi à terre, comme tout gendarme. Nous vérifions aussi les débarquements des navires de croisière, essentiellement à Saint-Nazaire. C’est un sujet sensible et chaque accostage est suivi de très près. Enfin, nous contrôlons les ports et les embarcadères vers les îles. Certaines communes îliennes ont pris des arrêtés pour interdire toute location temporaire. Nous vérifions que les gens qui souhaitent s’y rendre sont bien fondés à le manière générale, le confinement est bien respecté. Nous avons mis un gros coup de collier les quatre premiers jours, avec deux jours de pédagogie, puis la phase de verbalisation. Nous avons réalisé plus de 8 500 contrôles et verbalisé à 460 reprises depuis le début du confinement. Nous avons réussi à bloquer rapidement toute la circulation maritime liée aux loisirs. Il n’y a plus personne en mer, sauf ceux qui sont autorisés à sortir. Le fait que la navigation de plaisance soit réduite à néant limite l'aspect secours pour l'ensemble des administrations qui peuvent par conséquent se recentrer vers la sécurité de la navigation population se montre très compréhensive, les îliens notamment sont particulièrement favorables à notre action. Les urbains, qui sont venus juste avant le confinement, sont moins réceptifs. Les plus récalcitrants restent les surfeurs quand il y a de belles vagues !Concernant les interventions en mer, nous avons adapté notre organisation. Sur les vedettes, où les équipages sont généralement constitués de cinq gendarmes au minimum pour un effectif de huit, nous avons une dérogation pour fonctionner avec deux équipages de quatre. Pour les sorties quotidiennes, et afin d’éviter la promiscuité, nous utilisons les semi-rigides. Nous accordons une vigilance particulière aux possibles trafics de stupéfiants, car la période est propice et il semblerait logique de constater une recrudescence du fait de la fermeture de la frontière physique terrestre avec l’ nous regardons toujours vers la mer, nous sommes davantage tournés vers la terre en cette période de crise, en soutien des unités des groupements de gendarmerie départementale et des zones police. Cette collaboration a toujours existé mais elle est actuellement troisième mission, c’est le renseignement. L'épidémie de COVID-19 bouleverse l’économie maritime et portuaire. Il s'agit d'être attentif et de faire remonter les signaux faibles autant que de donner une image exacte de la situation sur l'Atlantique à nos autorités. » GMAR Manche – mer du Nord le secours en mer toujours prioritaire La toponymie de notre littoral est très différente de celle de l’Atlantique ou de la Méditerranée, décrit le colonel Ronan Guillemot, commandant le groupement de la gendarmerie maritime Manche - mer du Nord. La navigation de loisirs y est beaucoup plus réduite, surtout en cette période de Pâques. En revanche, nous conservons une forte activité de pêche et un trafic trans-Manche mission prioritaire reste la sauvegarde de la vie en mer liée à ce flux trans-Manche non-orthodoxe. De jour comme de nuit, de frêles esquifs, quand on peut appeler ça des esquifs, tentent la traversée. Cette activité ne diminue pas depuis le début de la crise. Le recueil des naufragés se déroule toujours en prenant un maximum de mesures de précautions, car leur état sanitaire est très incertain. Il convient pour les équipages de ne pas aggraver le risque sanitaire deuxième mission est de maintenir la sûreté maritime et portuaire. Notre surveillance porte particulièrement sur les grands ports de pêche et les CNPE Centre Nucléaire de Production d’Electricité de la façade maritime, ainsi que sur certains flux de marchandises particulièrement sensibles masques médicaux, médicaments, appareils respiratoires pour les hôpitaux…. Nous effectuons une veille importante sur les trafics d’opportunité qui peuvent survenir en cette troisième mission prioritaire est la protection des sites militaires de la Marine nationale, en particulier la base navale de Cherbourg. La crise du COVID-19 n’a pas supprimé la menace terroriste. On peut même affirmer qu’elle l’a renforcée. Il ne faut surtout pas baisser la nous devons conserver une capacité de police judiciaire réactive pour les atteintes aux personnes et aux la gestion des effectifs, cela s’est passé très simplement, sans difficulté. J’ai décidé de fonctionner par tiers un tiers sur le terrain nuit et jour et les week-ends, un tiers en télétravail, pour les enquêtes et les investigations, et un tiers en repos avec pour seule mission de rester confiné et de ne pas attraper le virus ! Au bout de 15 jours, on bascule ceux en repos passent sur le terrain. Cela me permet de récupérer des gendarmes en pleine forme, qui sont même impatients de reprendre les le terrain, un respect draconien des gestes barrières est imposé. Au moindre début de symptôme, je place le gendarme en réserve. À ce jour, l’état sanitaire est excellent. Nous n’avons aucun cas de COVID bateaux tournent à un régime normal, avec des équipages légèrement réduits 12 ou 13 au lieu de 16 pour le patrouilleur Aramis et 6 au lieu de 8 sur les vedettes. L’activité est très soutenue, notamment pour le patrouilleur, qui est le seul navire militaire de cette capacité à sortir à l’heure actuelle. »

sur le pont du nord paroles