Ilne faut pas mĂ©langer les torchons et les serviettes MĂȘme pour le nettoyage en machine. Mais, sachez qu'on peut quand mĂȘme faire quelques exceptions ! Voici pourquoi il ne Torchonset serviettes « On ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes » Un groupe de jolies serviettes . toutes issues des beaux quartiers. dĂ©ambulait, toutes proprettes. parĂ©es de leurs bijoux Cartier. Non loin de lĂ , sur le trottoir. avançait une bande de torchons. de toutes couleurs, blancs et noirs. et qui chantaient Ă  l’unisson. Sujet on ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes !!!! Ven 13 DĂ©c 2013 - 16:42 Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd. This is part of a series on French idiomatic expressions that relate to food. Browse the list of idioms featured so far. This week’s idiom is, “Ne pas mĂ©langer les torchons et les serviettes.” Literally translated as, “not mixing dishtowels with napkins,” it means treating things or people differently according to their perceived value or class, but also, more generally, not mixing things of different kinds, with the implication that some of those things are superior to the others. It is a colloquial expression that usually appears as “Il ne faut pas mĂ©langer les torchons et les serviettes” or “On ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes” one mustn’t/doesn’t mix dishtowels with napkins. It can be delivered either earnestly or ironically, to deride a person’s or an institution’s narrowmindedness. Example “Pierre BergĂ© a refusĂ© que les portraits d’Yves Saint Laurent figurent aux cĂŽtĂ©s d’autres portraits de couturiers dans l’exposition d’Andy Warhol au Grand Palais. Il ne faut pas mĂ©langer les torchons et les serviettes » a-t-il dĂ©clarĂ© avant de demander que les tableaux soient dĂ©placĂ©s dans la section des artistes.” Pierre BergĂ© refused to have Yves Saint Laurent’s portraits appear side by side with other fashion designers in the Warhol exhibition at the Grand Palais. “One mustn’t mix dishtowels with napkins,” he said, before asking to have the paintings moved to the artists section. [This example is slightly rephrased from a recent article in L’Express Styles.] Listen to the idiom and example read aloud If no player appears, here’s a link to the audio file. This expression relies on the symbolic opposition between the dishtowel, seen here as a lowly rag used for domestic chores, and the napkin, a much more distinguished piece of cloth that is an integral part of an elegant table setting. The classist — though now generally outdated — implication was that the former was in the realm of servants, while the latter belonged to the world of their employers and their social life. It would then have been improper to wash or put away the two together. For the record, we keep the clean dishtowels and everyday cloth napkins in the same place, while the napkins we use for guests live in a separate drawer — but it’s more for the sake of convenience than anything else. Rencontre entre Amoureux de la Bretagne Le Deal du moment -33% Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  ... Voir le deal € Les Amoureux de la Bretagne Les brĂšves de comptoir Le cafĂ© du forum 2 parti Nombre de messages 7307Age 85Ville PlouescatDĂ©partement/Province/Pays FinistĂšre NordDate d'inscription 23/03/2013Sujet on ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes !!!! Ven 13 DĂ©c 2013 - 1642 vestiaire des chars Ă  voile .Baie du Kernic... d' Nombre de messages 5000Age 66Ville StrasbourgDĂ©partement/Province/Pays AlsaceDate d'inscription 08/12/2010Sujet Re on ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes !!!! Dim 15 DĂ©c 2013 - 1845 bien entendu quand tu parles des garçons tu penses aux serviettes ?puisque c'est dit dans cet ordre Nombre de messages 7307Age 85Ville PlouescatDĂ©partement/Province/Pays FinistĂšre NordDate d'inscription 23/03/2013Sujet Re on ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes !!!! Dim 15 DĂ©c 2013 - 1859 Contenu sponsorisĂ©Sujet Re on ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes !!!! on ne mĂ©lange pas les torchons et les serviettes !!!! Page 1 sur 1 Sujets similaires» MĂ©lange de couleurs....Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLes Amoureux de la Bretagne Les brĂšves de comptoir Le cafĂ© du forumSauter vers CrĂ©er un forum © phpBB Forum gratuit d'entraide Signaler un abus Forum gratuit Nature et Evasion Tourisme Des couples de mots de mĂȘme nature, passant pour Ă©quivalents, peuvent cependant prĂ©senter une nuance. Le choix de l’un ou de l’autre mot est-il vraiment indiffĂ©rent ? S’emploient-ils dans le mĂȘme contexte ? PrĂ©fĂ©rez-vous les nouilles ou les pĂątes ? Une premiĂšre rĂ©ponse consiste Ă  dire que la nouille est une variĂ©tĂ© de pĂąte, plate, Ă©troite et assez courte, coupĂ©e en laniĂšre mince, cette forme la distinguant du macaroni et autre coquillette. Par extension, ce mot dĂ©signe toute pĂąte alimentaire, usage familier ignorĂ© du TrĂ©sor de la langue française TLF. Nom spĂ©cifique, nouille est devenu un terme gĂ©nĂ©rique. Parler de pĂąte Ă©voque la pasta italienne, constituant un plat savoureux nappĂ© d’une sauce parfumĂ©e. Dans l’usage, au pluriel, les deux mots dĂ©signent le mĂȘme type de prĂ©paration, et jusqu’à prĂ©sent, nouilles Ă©tait en fait plus populaire que pĂątes. On tend Ă  Ă©viter nouille dans la restauration, en raison de sa connotation aussi austĂšre que calorique, faisant rĂ©fĂ©rence aux fins de mois difficiles et au stock constituĂ© en cas de coup dur. Mais rĂ©cemment, de nouvelles habitudes alimentaires sont venues rebattre les cartes, avec les nouilles chinoises, aliment de base en Asie, avec le riz. La lĂ©gende, ou plutĂŽt un publicitaire amĂ©ricain, raconte que c’est Marco Polo qui rapporta les pĂątes en Italie au retour de son voyage en Chine. Le français nouille vient de l’allemand Nudel pĂąte alimentaire », qui a Ă©tĂ© Ă©galement empruntĂ© par l’anglais qui en a fait noodle. Pouvons-nous conclure par cette formule Ă©clairante toutes les nouilles sont des pĂątes, mais toutes les pĂątes ne sont pas des nouilles ? Soupe et potage Ă©voquent des prĂ©parations dont on peine Ă  identifier les diffĂ©rences, si ce n’est, peut-ĂȘtre, une valeur nutritive inĂ©gale. La soupe est nourrissante, rustique, avec des morceaux de lĂ©gumes, spĂ©cialitĂ© rĂ©gionale Ă©paisse telle la garbure ou le minestrone, plat du pauvre constituĂ© d’une tranche de pain arrosĂ©e de bouillon ce pain est le sens premier du mot soupe, Ă©clairant l’expression trempĂ© comme une soupe tandis que le potage est un mets raffinĂ©, avec des lĂ©gumes nobles finement taillĂ©s en julienne ou mixĂ©s pour obtenir veloutĂ©, coulis ou bisque. La compĂ©tition met en prĂ©sence soupe au chou, aux poireaux, Ă  l’oignon face Ă  potage aux pointes d’asperges, potage gourmand, printanier, potage CrĂ©cy... Le TrĂ©sor de la langue française fait remarquer que si potage et soupe sont allĂšgrement confondus de nos jours, ce n’était pas le cas au XIXe siĂšcle oĂč le potage pouvait contenir des aliments solides. ConformĂ©ment Ă  son Ă©tymologie car potage dĂ©signe des aliments cuits au pot, le temps ayant progressivement dĂ©placĂ© l’accent sur le bouillon dans lequel cuisaient ces ingrĂ©dients. Ajoutons que soupe entre dans des expressions peu valorisantes qui n’arrangent pas son cas, telles que marchand de soupe, gros plein de soupe, cracher dans la soupe, la soupe Ă  la grimace, la soupe populaire. Partez-vous en congĂ© ou en vacances ? Le sens premier de congĂ©, autorisation de s'en aller », se retrouve dans les locutions relativement usuelles prendre congĂ© de qqn ou donner congĂ© Ă  qqn. Le sens gĂ©nĂ©ral d' autorisation », est passĂ© dans le domaine de la vie professionnelle. Le mot congĂ© est en relation avec le travail, c’est la permission accordĂ©e Ă  un salariĂ© de cesser son activitĂ© pour une raison prĂ©cise congĂ© maternitĂ©, congĂ© maladie, congĂ© parental, congĂ© de formation, et au pluriel, congĂ©s fait rĂ©fĂ©rence aux congĂ©s payĂ©s, droit annuel instaurĂ© par les lois sociales de 1936. Le second mot, vacances, Ă©voque la libertĂ© retrouvĂ©e, loin des obligations. Vacance dĂ©signe l’état de ce qui est vacant, vide, inoccupĂ©, notamment l’état d’une charge, d’un poste qui se retrouve sans titulaire la vacance du pouvoir, d’un siĂšge. À la fin du XVIe, le mot s’est appliquĂ© Ă  la pĂ©riode oĂč les tribunaux interrompaient leurs travaux en temps des vacances, puis, le siĂšcle suivant, aux autres cessations d’activitĂ© vacances scolaires. En toute rigueur, on obtient un congĂ© permettant de prendre des vacances, de partir en vacances. Dans l’usage, ces deux termes se confondent le plus souvent, sans consĂ©quence, si ce n’est sur l’orthographe on est en congĂ© au singulier, mais en vacances. Êtes-vous invitĂ©s Ă  une noce ou Ă  un mariage ? Si vous ĂȘtes dans le premier cas, apprĂȘtez-vous Ă  faire la fĂȘte et Ă  cĂ©lĂ©brer joyeusement l’évĂ©nement. Alors que si vous ĂȘtes dans le second, il peut s’agir seulement d’assister Ă  la cĂ©rĂ©monie en mairie
 nettement moins festive ! Noce dĂ©signe la cĂ©lĂ©bration du mariage et les rĂ©jouissances qui s’ensuivent, donnant lieu Ă  un nouveau sens, par mĂ©tonymie, partie de plaisir », et Ă  la locution, aujourd’hui vieillie, faire la noce, activitĂ© prisĂ©e des noceurs. Cette dimension joyeuse est absente de mariage, dĂ©rivĂ© du verbe marier, qui dĂ©signe Ă  la fois l’union de deux personnes, qu’elle soit religieuse ou civile, et l’état qui en rĂ©sulte. Il vous faut nettoyer les dĂ©combres ou les gravats ? Nous vous souhaitons la seconde tĂąche, car il s’agit alors d’évacuer les dĂ©bris provenant de travaux, de dĂ©molition. Quant Ă  la premiĂšre, c’est la consĂ©quence d’une catastrophe, au choix, effondrement, tremblement de terre, bombe
 Gravats est l’altĂ©ration de gravois dĂ©bris », en ancien français sable grossier », de mĂȘme origine que grĂšve, dĂ©signant le bord d’un cours d’eau, de la mer, terrains appelĂ©s graves en Gironde. DĂ©combres, employĂ© le plus souvent au pluriel, est le dĂ©verbal d’un ancien dĂ©combrer enlever ce qui encombre ». Faites-vous du vĂ©lo ou prĂ©fĂ©rez-vous vous adonner Ă  la bicyclette ? Qu’importe votre petite reine, pourvu que vous ayez l’ivresse des cheveux au vent ! Le premier engin a un cĂŽtĂ© sportif, court le Tour de France ou tourne sur un vĂ©lodrome. Le vĂ©lo de course possĂšde un Ă©quipement technique tournĂ© vers la vitesse, la performance, il sent la sueur des classes populaires, champions ou ouvriers. Tandis que la bicyclette, chantĂ©e par Yves Montand Ă  la gloire de Paulette, fleure bon la campagne, la randonnĂ©e sur les petites routes qui sentent la noisette
 Le vĂ©locipĂšde, engin que l’on fait avancer par la force des pieds au sol, avant d’ĂȘtre muni de pĂ©dales par un serrurier parisien, Michaux, invention brevetĂ©e en 1868 sous le nom de pĂ©divelle, est proche de la machine connue en France sous le nom de draisienne invention de Karl Drais, baron allemand, qui la baptise Laufmaschine machine Ă  courir ». Pour le rendre plus rapide, la solution retenue est d’augmenter le diamĂštre de la roue avant. Celle-ci, directrice et motrice, finira par atteindre un trĂšs grand diamĂštre sur le bicycle, et la pratique du grand bi ne va pas sans chutes et contusions. Ces problĂšmes de sĂ©curitĂ© le feront disparaĂźtre au profit de la bicyclette, dont les dimensions plus modestes justifient le nom ; bicyclette est en effet le diminutif de bicycle, engin imaginĂ© Ă  partir du tricycle. Les deux mots sont bien synonymes, bicyclette a le charme poĂ©tique des mots surannĂ©s tandis que vĂ©lo porte seul les amĂ©liorations modernes vĂ©lo Ă©lectrique, pliant, tout terrain, tout chemin, cargo
. Si l’ĂȘtre humain se souvient parfois qu’il est un animal, il ne saurait ĂȘtre une bĂȘte comme Pascal nous l’a rappelĂ©. Mais ceci est une autre histoire
 La pĂąte dĂ©trĂŽne la nouille, LibĂ©ration, 11/02/1995 VĂ©lo, bicyclette, histoire des mots, Odon Vallet, Les Cahiers de mĂ©thodologie, 1998/1 n°5, pp. 15-18 CrĂ©dits photo photosimysia/

on mélange pas les torchons et les serviettes